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Le Top 10

Les lieux incontournables pour ne rien manquer lors de votre visite à Martel

Le Palais de la Raymondie 

Edifié à partir de 1280 à l’initiative de Bernard Raymondie, receveur des impôts royaux et fils présumé du vicomte Raymond IV de Turenne, le palais de la Raymondie fut achevé vers 1330 par son gendre Pierre Estève.
Palais urbain composé de quatre ailes autour d’une vaste cour, dominé par un beffroi, il a connu diverses fonctions : hôtel de ville à la Révolution, il héberge maintenant le musée d’Uxellodunum et le musée de la Raymondie. Vous y découvrirez aussi de nombreuses expositions.

La Halle, place des Consuls

Couverte d’une remarquable charpente en bois de châtaignier soutenue par des piliers massifs, elle date du 18ème siècle. Elle témoigne de la vocation marchande de Martel et perpétue la tradition en accueillant le marché tous les mercredis et samedis matins. Vous pourrez y voir quatre mesures à grains, symbole du commerce d’antan. Elle s’anime les mercredis soirs d’été d’un bal gratuit. C’est « the place to be » !

L’ancien  cloître des Mirepoises

Visite du cloître datant du XVI siècle, son jardin et une pièce qui possède un plafond à caissons de néo-renaissance. Ouvert seulement l’été.

Maison Fabri

Cet hôtel du XVe siècle est aussi appelé maison Duboy. C’est à cet emplacement que mourut, le 11 juin 1183, peu après avoir pillé Rocamadour, Henri Court Mantel, fils aîné d’Henri II Plantagenêt, roi d’Angleterre, de la sulfureuse Aliénor d’Aquitaine, et frère de Richard Coeur de Lion : la demeure est marquée au sommet de la tour de l’écusson anglais, le léopard dressé.

Rue Sans-Lys

On y observe la façade la plus imposante du Palais de la Raymondie, avec ses trois niveaux clairement visibles : les arcades destinées au commerce au rez-de-chaussée, de belles baies éclairant les salles de résidence et de réception au 1er étage, et les dépendances au dernier niveau. Les petites échauguettes d’angles de rôle défensif deviennent signe de prestige.

Hôtel de Briance dit « Vergnes de Ferron »

Logis du Moyen-Age remanié à la fin du XVe siècle, avec un décor Renaissance sur son portail. Le heurtoir de la porte est placé à hauteur d’homme à cheval.

Maison de la Vidalie ou Maison du Silence

La rue Droite, rue principale qui traverse Martel d’est en ouest, abrite une longue maison où subsistent des vestiges de baies à colonnettes (XIIIes.), et une porte avec linteau en accolade (fin XVe s.). En face, une maison de marchand avec deux grands arcs brisés au rez-de-chaussée.

Rue de l’Église

On peut y voir deux maisons à pans de bois avec encorbellement sur la rue.
 

L’église Saint-Maur

Adossée aux remparts, l’église fortifiée présente tours à échauguette, mâchicoulis, et tour-clocher de plus de 40 m de hauteur servant de tour de défense. Elle possède un tympan roman sculpté au milieu du XIIe siècle qui représente la seconde Parousie (avènement du Christ) peu avant le Jugement Dernier. Dans le chœur un vitrail du XVIe siècle orne la large baie.
Le chevet de l’église forme l’extrémité de la première enceinte, l’impression de forteresse est renforcée par la présence d’une bretèche.
A droite, la place de la Rode était le lieu des exécutions et des foires jusqu’à la Révolution.
 

Rue du Puits

Maison avec un vieux puits qui a la particularité d’avoir une partie vers l’intérieur de la maison, pour les propriétaires, et  une partie vers la rue pour la population. On peut voir la trace de la corde sur la margelle.
 

La tour Tournemire

Elle était intégrée à l’enceinte du XIIe siècle, et porte le nom de la famille de bourgeois qui l’occupait. Tour de guet et de défense, prison seigneuriale, puis royale et enfin municipale.
 

La tour des Cordeliers

Unique vestige du couvent des Cordeliers, ordre mendiant qui ne s’installait que dans les villes riches.
 

Barri de Brive et Porte de Brive

Une des neuf portes fortifiées qui fermaient la deuxième enceinte, pour protéger les barris (quartiers) construits à l’extérieur de la première enceinte. La route du pèlerinage vers Rocamadour aboutissait ici.

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